lundi 14 août 2017

Tallinn, le 14 août


On continu notre visite de Tallinn mais cette fois à l’extérieur de la cité médiévale. On retrouva des traces des Vikings et des pièces de monnaie musulmane sur les rives de la rivière Pirita.

Dès 1279 il y avait un moulin. De 1560 à 1658 la région était sous domination suédoise et Tallin était la troisième plus grande ville après Stockholm et Riga. Ce sont eux qui établirent la première université en 1633.

De 1708 à1710 l’armée de Pierre Le Grand attaque la ville. La famine et la peste viennent à bout des estoniens. Quand il y vint, il regretta de ne pas y avoir établi sa capitale. Il y construit un palais d’été et tout autour un beau parc et un quartier de serviteurs s’y installa.


Le premier train, vers Moscou et Saint-Pétersbourg fut mis en service en 1870.Encore aujourd’hui le train est peu développé.

Avant l’indépendance les principales industries étaient le cuir, le papier et le tabac. Il y a 150 ans on construisit pour les ouvriers des maisons de bois sans aucun service sanitaire, les ramoneurs passaient deux fois l’an.

Après la guerre, les russes commencèrent un pont en béton pour rejoindre la Finlande, n’en croyez rien, c’est un monument aux soldats soviétiques décédés.

C’est ici que furent tenu les régates des jeux olympiques de 1980, cette activité marqua l’arrivée de Pepsi-Cola sur le territoire. Les soviétiques mirent en place une piste de course sur route, la voiture Estonie, une monoplace fut vendue à plus de 1000 exemplaires.

Si le port de Tallin est maintenant fréquenté par les croisiéristes, il est actif depuis longtemps. Le clocher de l’église St-Olav servait de phare au moyen-âge. Au XIV c’était un important port de commerce.

Les soviétiques y établirent une usine d’hydravions et une base navale, le sous-marin nucléaire était un secret bien gardé.

 

Depuis le début du siècle, les hautes tours et les centre d’achats luxueux poussent sans arrêt.

Dans la vielle ville on visite la première pharmacie qui était active en 1422. En 1580 un hongrois en devint propriétaire, les Johann Burchart y furent apothicaire pendant dix générations.


Le cloitre du monastère des frères dominicains date du XII, il fut fermé pendant la Réforme.


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