vendredi 21 juillet 2017

Montréal - Moscou 21-22 juillet

Difficile à croire, mais nous sommes finalement installés dans notre appartement au Coeur de la capitale de la Poutine.
Il n’y en a jamais de facile et cette fois nous devons trouver un autre coupable que la température pour les périples de la journée.
Boucherville vers PET, malgré la belle circulation fluide et ordonnée, no problemo, niet. Petit retard du vol mais on a du louse en banque.
On court dans l’aéroport de Toronto; inutile, nous sommes en temps mais l’accent tamoul annonçant les départs imminents n’est pas évident.
Eh là c’est la série des annonces de délais, les petits retards s’accumulent et c’est finalement avec 5 heures de retard qu’on quitte le plus beau pays du monde pour Varsovie.
Huit heures c’est long longtemps, surtout qu’à l’embarquement on nous annonce que notre présence à bord est annulée. Ça ne peut être autre chose qu’une diabolique conspiration Canadian pour briser l’amitié Québec-Popov.
C’est donc dispersé aux quatre coins de l’avion qu’on traverse l’Atlantique pour rejoindre un vol déjà parti vers Moscou bien avant qu’on survole les newfies.
Sortir de cet immense 787 c’est comme faire entrer des éléphants dans un petit entonnoir. Tous sont à la recherche d’une nouvelle connexion.
On en sort pour faire la queue au kiosque de LOT (Varsovie). Incroyable mais ils ont nos boarding pass pour le vol de 16h05, qui ne partira finalement que vers 17h30.
Françoise reçoit un message que notre appartement est inondé et non disponible pour ce soir.
Essayez de communiquer via Skype d’un aéroport bruyant avec quelqu’un parlant plus Rouge que White.
Mais Allah est grand et son prophète cette fois est déguisé en un jeune couple franco-russe assis juste devant nous.
Plus que merci Katia, car c’est cet ange qui discute longuement avec notre agence et nous transmet toutes les informations requises pour rejoindre un autre appartement.
À l’extérieur la rue est en rénovation. Tant d’heures de vol et tant d’attentes pour des paysages typiquement Montréalais. Mais c’est correct en dedans, même si vieux.

La langue russe n’est pas évidente mais plusieurs baragouinent le White et on devrait s’en sortir.

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