Puebla, le 2 mars

Au programme aujourd’hui les cinq ‘’unicos e inolvidables’’de la ville. Premièrement le temple de San Francisco. De l’extérieur on ne peut comprendre sa place sur cette liste. Assez ordinaire et même si l’église est bien, elle ne nous épate pas avant de tourner le coin de ‘’la capilla del Rosario’’. Datant de 1690 de style baroque, elle est entièrement recouverte d’or. Si le Mexique ne paye pas pour le Mur, ce n’est pas qu’il n’a pas les moyens. Quelle richesse exubérante!

La cathédrale commencée en 1575 possède les deux plus hauts clochers du pays, et l’intérieur est très riche. Savez-vous d’où vient le mot cathédral? Catédra veut dire siège de l’évêque, et ‘’ceux de Puebla ne manquaient pas de classe.

La ''biblioteca Plalafoxiana'' est la plus ancienne des Amériques. Sa collection de 43 000 volumes remonte à 1646. Adjacent un musée des richesses sacerdotales de la cathédrale et de poteries inspirés des quatre coins du monde : Khajurâho, Pompéi, Angkor, jeu de ‘’pelotta’ du Mexique, etc.

Le ‘’Palacio Municipal ‘’ est relativement récent. Bel édifice classique des édifices gouvernementaux, avec une belle fontaine au centre de la cour intérieure. Du balcon une vue superbe sur le Zocalo (place centrale) .
 

Finalement ‘’l’igesia de El Senor de la Maravillas’’. Notre manque de foi nous empêche de comprendre la magnificence de l’endroit; pourtant les Mexicains se mettent en fille pour toucher un cercueil en vitre contenant un christ avec des cheveux en boudins.

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