jeudi 28 janvier 2016

Pondichéry, le 28 janvier


Avant de quitter notre hôtel on procède à des transactions financières de haute voltige, mais avec le secours de deux experts on fini par pouvoir régler notre note de restaurant. On croise une belle vache affichant son patriotisme indien avec ses cornes vertes, blanches et oranges mais la caméra de Françoise flanche à cet instant.


On embarque sur l’autoroute gérée par la National Highway Authority of India qui nous rappelle qu’ils ne font pas que des routes, mais qu’ils font un pays. Puis on voit un premier signe avancé de la civilisation française, un PFK. Après deux jours de bouffe full-veg, c’est presque tentant.

Mélange des genres que cette ville, c’est trop propre pour le Tamil Nadu et les plaques des motos ne commencent pas par TN mais PY.


Les noms des rues sont inscrits en français, comme RUE Dumas, où nous sommes. L’église Notre-Dame des Anges peut pardonner vos péchés en français, en anglais ou en tamil. Pas de cricket ici, on pointe, on tire, on joue à la pétanque. Nous sommes dans le French Quarter mais l’Inde n’est jamais loin.

Il renverse le sucrier, prend un carré, va à la fontaine,
le trempe dans l'eau avant de l'avaler














On s’arrête pour un café, buvable, en bord de mer où on est témoin d’un vol qualifié. Deux bons repas, sans aucun goût indien.

Vive la France et ses colonies.

Aucun commentaire: